Mercredi 11 mai 2022

Un bus privé vient prendre la cinquantaine de participants de la sortie, à l’entrée du camping international de Lyon à 9 h, pour nous emmener à la Basilique de Fourvière, (cette montée en bus nous évitera les quelques 300 marches à grimper à  pieds). Nos 2 guides nous rejoignent et nous font découvrir le magnifique panorama sur la ville de Lyon, nous sommes à plus de 100 m d’altitude, il fait un super soleil, tout est pour le mieux ! Un passage par la basilique nous permet de voir de belles mosaïques pastel et de nombreux autres décors, cet édifice  construit après 1870 est imposant (86x35x48m) avec ses 4 tours d’angle. Elle est consacrée à la Vierge.

Nous commençons notre descente vers la vieille ville en longeant les théâtres  Romains, incroyable ! Ils sont là depuis 2000 ans ! Découverts depuis 1933, Lyon était une capitale Romaine, sous le nom de Lugdunum. Ces lieux servent pour des spectacles, dont les nuits de Fourvière.

Notre descente se poursuit dans une succession de jardins fleuris, dont des rosiers qui sont une des spécialités de la région où exercent encore plusieurs professionnels connus. Après une longue, très longue suite d’escaliers nous arrivons dans le quartier Saint Jean, le plus ancien de la ville. Les rues y sont très étroites, les maisons très hautes (4 à 5 étages), car ont manquait de place. Vers 1540, on comptait 18000 métiers à tisser dans ce quartier, plus les négociants, banquiers….ceux ci résidaient dans de très belles maisons, qui ont été conservées et rénovées.

Le nombre réduit de rues et la densité des logements sont  tels, qu’on a créé « les traboules » à l’intérieur même des immeubles,on a aménagé des couloirs qui joignaient les rues entre elles et étaient utilisées par tous ! Nous découvrons ainsi ces lieux faits de petites cours sur lesquelles donnent les fenêtres des résidents, plus ou moins stylées, plus ou moins obscures ; aucune ne se ressemble vraiment….autrefois ce devait être très bruyant, maintenant nous devons respecter la quiétude des habitants !!

Notre passage dans les rues nous fait découvrir des étals de spécialités Lyonnaises et nous donne faim….notre guide nous fait traverser la Saône pour arriver à notre lieu de restauration : un « Bouchon Lyonnais » où nous dégustons une cuisine simple mais éminemment goûteuse.

Le reste de l’après-midi étant libre, nous nous dispersons dans le quartier de la Presqu’île (entre Rhône et Saône) ou vers La vieille ville, mais chacun tente de se procurer qui un petit foulard de soie, qui des chocolats enrobés « les coussins », qui une brioche aux pralines….bref, c’est une ville de bonne chère !

Notre car nous reprend sur la fameuse place Bellecour et nous reconduit, sans trop de bouchons, vers notre habitation où la journée se termine dans la bonne humeur avec l’apéro habituel.

Lilianne Gérard

Jeudi 12 mai 2022

Matin

Comme la veille, le bus vient nous chercher pour nous emmener en haut de la colline de la croix rousse. C’était la colline des canuts, à cheval sur le 4^ième et le 1^er arrondissement, celle qui travaille (la colline de Fourvière visitée la veille était celle qui prie). On trouve tout sur place, priorité aux petits commerces. Il y a 10 000 habitants. On habite la croix rousse avant d’habiter Lyon. On y a un journal : la ficelle. On y a une radio canut, la plus rebelle des radios.

Le quartier comporte un plateau au sommet très urbanisé avec des immeubles aux façades épurées avec des fenêtres simples comportant des stores extérieurs. Les appartements ont 4 mètres de hauteur pour pouvoir contenir les métiers à tisser. Les canuts, qui les habitaient, étaient des tisseurs de fils de soie, d’or et d’argent. Les pentes de la colline se sont construites 60 ans après la révolution,  elles étaient à l’origine couvertes de jardins partagés.

Notre rendez-vous se situait devant un immense mur d’immeuble aveugle, le mur des canuts, recouvert complètement d’une immense fresque par la cité de la création (6 hommes, 6 femmes). Elle est refaite tous les 10 ans en la mettent à jour en fonction de l’évolution du temps et des vies. Dans un coin est représentée une traboule (passage piéton entre deux immeubles) où est exposée l’évolution de cette fresque en trompe l’œil typiquement croix-roussiennes, depuis 1986.

L’origine des canuts : Napoléon III imposa les commandes de soies et de tissus raffinés à Lyon. C’est Jacquart qui inventa la mécanique des métiers à tisser trop imposant pour être installé dans le vieux Lyon. Ils ont donc été monté dans des immeubles de la croix rousse. Il y en a  eu jusqu’à 35000 !!! Il y avait les marchands et négociateurs qui recevaient les commandes de toute l’Europe, ils achetaient les fils les teignaient, et ils les faisaient tisser par les fabricants, les canuts, qui possédaient leurs métiers à tisser. Dans chaque atelier il y avait une hiérarchie : le chef, l’ouvrier compagnon et l’apprenti. L’augmentation des prix et les salaires stagnants, amena la révolution des années 1830. Les marchants fabricants refusent l’accord d’un prix unique. En 1831 150 morts. En 1848, création d’une loge qui comportait une sorte de Mutuelle dont la cotisation, était établie en fonction du nombre de métiers à tisser possédés : devoir, liberté, retraite, solidarité, en sont les principes fondamentaux. Par la suite ont été créés les prudhommes.

Nous amorçons notre descente sur les pentes et traversons des traboules impressionnantes. Le sous-sol est très irrigué : le seul monument de la colline est « le gros caillou » 24t, un des symboles de la croix rousse, vient de la moraine glaciaire trouvée quand a été créé le funiculaire. On peut dire aussi que la Boule lyonnaise est née à la croix rousse et que le fameux Guignol est lié à la soie par la satire politique et sociale. Nous terminons notre visite en admirant au bas de la colline, le mur peint représentant tous les personnages célèbres de Lyon : Sainte Blandine, Claude Bernard, Antoine de Saint Exupéry, l’abbé Pierre, Ampère, Marcel Mérieux créateur de l’institut, Bertrand Tavernier, Paul Bocuse, Bernard Pivot, pour n’en citer que quelques-uns. Ensuite chacun est libre de trouver un petit resto sympa, ce qui ne manque pas à Lyon.

Après midi

Après la visite du quartier de la Croix Rousse, chacun s'est dirigé vers un petit restaurant sympa, typique  ("Chez Paul" en face du "Café des fédérations", "Le Bonâme de Bruno" (recommandé par le guide du routard)... Typique ou pas ("Les mauvaises herbes" : un restaurant végétarien mettant en valeur de nouvelles saveurs).  Certains ont eu juste le temps de manger puis de marcher tranquillement (sans oublier d'acheter quelques pralines) vers la place Bellecour où devait attendre le car (enfin semble-t-il car c'est lui qui était en retard, sans doute à cause des bouchons car à Lyon il existe plusieurs sortes de bouchons...). Contents de s'asseoir en attendant le car. Un après-midi calme au camping, pour soi, pour trier des photos, laver du linge ou tout simplement reposer ses jambes. 
Un après-midi découvertes pour d'autres qui, au hasard des ruelles ont pu voir la maison aux 365 fenêtres, la maison Brunet, la demeure du créateur de Guignol, Laurent Mourguet, se faufiler dans un traboule obscur, par hasard, se laisser surprendre par une place offrant une vue magnifique (la place Rouville), visiter un atelier de soierie ou le musée des Canuts (présentant les vieux métiers à tisser, une démonstration d'un tissu élaboré (15 000 € le mètre  en 50 cm), la présentation du ver à soie...)
Une petite pluie, en fin d'après-midi a invité alors les derniers au retour (traversée d'un pont dans un sens puis dans un autre pour trouver enfin l'arrêt de bus).  Quoi dire de plus ? La poussière liée au vent sur certaines places et la chaleur en ont en fait éternuer plus d'un mais que de choses à découvrir encore à Lyon... 

Hélène Michel  Martine Christian

Vendredi 13 Mai 2022

Nous quittons le camping international de LYON pour rejoindre BELMONT de la LOIRE, comme il n’y a que 50 km entre les deux villes, nous avons la possibilité de prendre le chemin des écoliers.

Direction le Beaujolais avec ses paysages vallonnés et colorés par la pierre locale des maisons. Jaune presque ocre foncé.

Visite d’ OINGT, village classé «  Plus beau village de France », ses petites rues et maisons avec terrasses vue imprenable  sur la vallée recouverte de vignes ou d’herbage.

Arrêt au musée d’instruments de musique mécanique de tout âge, impressionnant. Le guide nous en montre le fonctionnement.

BEAUJEU, ensuite, capitale du Beaujolais. Musée intéressant  sur le vin et la gastronomie de la région.

Projection d’un film.

Dans une cave semi enterrée située au centre du village nous avons dégusté du Beaujolais.

Josiane B et Danièle C

Samedi 14 Mai 2022

Groupes de travail ,au sujet des attentes des adhérents avant l'assemblée générale 

Assemblée génerale dans la grande salle des Arcades de Belmont de la Loire

En soirée repas de gala suivi de danses animées par un dj

Dimanche 15 Mai 2022

Nous quittons BELMONT de la LOIRE. Dans les prairies vertes vallonnées et fleuries de boutons d’or , paissent paisiblement des troupeaux de Charollais .

Une halte à La CLAYETTE pour admirer son château  de 1380 et son lac.

Dans chaque bourgade, d’ANZY le DUC, SEMUR en BRIONNAIS, PARAY le MONIAL, les clochers et bâtiments religieux dominent avec leur architecture romane souvent remaniés au cours des siècles.

La journée s’achève au camping de CHARLIEU.

Jacky et Marie  C. Jean Yves et Yvette B  Nicole et Bernard P

Anzy le duc

Paray le Monial

Lundi 16 Mai 2022

Après une nuit sous de bons cieux

Nous partîmes à pied pour CHARLIEU

Nous étions dans le premier groupe

C'est-à-dire la moitié de la troupe.

Le premier déambulant dans les rues de la ville

Alors que le deuxième, jouant aux boules, restait à domicile

A gauche, à droite, dans les rues, le guide nous emmena

Au travers de cette belle commune pour une promenade.

Plus beau détour, petite ville de caractère

Tours de défense, hôtels particuliers, ville prospère

En pierre jaune  orangé, tout est construit :

Eglise, abbaye, mairie, elles en sont bâties.

Le plus grand carillon du département à St Philibert

Unique en France, des stalles à 24 dossiers dans le cœur

La salle des mariages, murs revêtus de toiles d’Aubusson

Nous démontrent le travail de nos compagnons.

Tout ayant une fin on se retrouva en centre ville

D’où l’on repartit vers le camping, d’un pas tranquille.

Sans oublier de goûter l’andouille de CHARLIEU,

Chère à ce pays, sans quitter ces lieux.

L’après midi les rôles s’inversent

Pour finir avec notre soirée coutumière.

Et de dire : Il n’y a qu’un CHARLIEU

                       Et qu’un soleil

Monique, Ginette, Annie,  Gérard et Daniel

 Mardi 17 Mai 2022

Fondée vers 994, CHARLIEU est une ville réputée pour ses étoffes de soie, ses constructions de pierres jaunes et sa délicieuse andouille (rien à voir avec celle de Guémené).

Elle est aussi célèbre pour son patrimoine architectural notamment par son Abbaye, son Couvent, ses maisons à pans de bois et ses maisons bourgeoises du XIII au XVIII siècle.

L’Abbaye bénédictine  ou Prieuré ( car c’est un Prieur qui est nommé à Charlieu par Cluny) est réputée pour son magnifique porche du XIII siècle comprenant  trois portails sculptés.

A l’intérieur se trouve le plus ancien (1090), il est au thème de l’ascension du Christ.

A l’extérieur :

• le tympan du grand portail représente le Christ en gloire.
• le tympan du petit portail représente les noces de Cana (et non la cène comme on pourrait le penser…)

Le cloître (fin du XV siècle) s’ouvre sur la salle capitulaire par une colonnade romane.

Aux différents points cardinaux se trouvent:  l’église au nord ; réfectoire et cuisine au sud ; le bâtiment des novices à l’ouest ; le dortoir des moines à l’est.

Au milieu du cloître un jardin qui a été réhabilité par des enfants de 6 à 12 ans.

Le Couvent des Cordeliers fondé vers 1280 par les frères Franciscains.

Ils ne subsistent que le cloître, l’église et la bibliothèque.

De style gothique rayonnant, le cloître est édifié avec les pierres de la région, de belle couleur dorée.

Les chapiteaux de la galerie nord représentent des animaux, des êtres fantastiques et monstrueux symbolisant : l’humour, le vice, la vertu….

• l’écureuil symbolise l’épargne, le mouton la douceur, le chien la fidélité, le perroquet les ragots, gros personnages l’orgueil, le lion la colère, l’agressivité……..

L’église attenante, à nef unique, surprend par sa charpente apparente en chêne trempé du XVIIe siècle et quelques vestiges de peintures murales (XIV,XV,XVIe siècle)

Anecdote

En 1910 le cloître a été vendu à une Américaine qui voulait emmener les arcades pour décorer ses cours de tennis. Heureusement, les amis des Arts se sont mobilisés pour empêcher le départ. Pour protéger l’édifice de tout pillage , il a été classé monument historique.

Corinne S. René A.

En ligne par deux , pour entrer dans le foirail

Mercredi 18 mai 2022

Départ matinal (8h) en bus pour st Christophe en Brionnais et son célèbre marché aux bovins(un des plus anciens de France , 1488,  et  toujours parmi les plus actifs).

L'aménagement actuel démarre vers 1690/1700 grâce à la famille de TENAY qui crée une rue bordée d'arbres permettant d'attacher les bovins à vendre. Différentes étapes (1820,1865, 1876, 1935, ....) conduisent à l'ouverture en 2009 du marché au cadran objet de notre visite. Vente  au cadran (d'une horloge) signifie que la vente aux enchères anonymes (vendeur aussi bien qu'acheteur) se termine quand l'aiguille du cadran atteint la dernière position. Aujourd'hui numérisé, le marché au cadran permet tous les mercredis la vente de bovins (principalement de race charolaise) de "maigres" de moins de 2 ans le matin, les bovins d'embouche (plus de2 ans) l'après-midi. les animaux répartis en lots sont présentés sur un ring, les acheteurs proposant des offres  finalement acceptées ou refusées à la fin de l'enchère.

le marché traditionnel de gré à gré a toujours lieu l'après-midi sous la grande halle.

il est à noter que le marché au cadran perçoit une commission de 2,84% sur les ventes et que le vendeur est mandaté sous 48heures. Par ailleurs tout bovin présenté est redevable d'une taxe de 7 euros qu'il soit vendu ou pas!

Une dégustation de viande charolaise puis un repas au restaurant ont conclu cette 1/2 journée matinale, instructive voire émotionnante pour certains.

Mireille, pierre, martial Arlette et Eric

Remise d'un souvenir à Michèle et Christian

Jeudi 19 Mai 2022

Liaison entre CHARLIEU et PIERRECLOS en passant par la roche de SOLUTRE.

En Mai, fait ce qu’il te plait. Proverbe que nous appliquons. Au fil de la matinée chaque équipage quitte le camping de CHARLIEU par l’itinéraire choisi par son GPS.

La roche de SOLUTRE. Site préhistorique et lieu de résistance. Cette roche calcaire culmine à 493m. Bien connue des Bourguignons et des régions alentours, située à l’ouest de MACON, elle devient célèbre sur le territoire national avec le président François Mitterrand et son ascension à la Pentecôte.

Pourquoi ? Me direz-vous ? Danièle, résistante, rencontre François à CLUNY et avec une poignée de résistants, dès 1946 se font la promesse de revenir chaque année à SOLUTRE.

Pour les équipages Autostar , c’est aussi leur ascension. Et malgré la chaleur chacun est content de l’exploit accompli.

Notons un petit bémol à cette ascension, au sommet, Michèle et Christian n’ont pas installé la tyrolienne qui nous aurait permis de descendre directement au parking.

Arrivée au Château de PIERRECLOS, apéro, dodo et à demain pour une nouvelle aventure.

Corinne R, Patrick G

Au briefing , degustation de la spécialité de Martial

Lundi 20 mai 2022 château de Pierreclos

N'ayant pu stationner à la Roche de Solutré et nous retrouvant sur le petit parking du château de Pierreclos , château médiéval du 14 siècle  entouré de ses 10 hectares de vignes,nous avons pu admirer la vue sur les toits aux tuiles vernissées de ce bel édifice..

La montée pour accéder  au porche d'entrée couronné par une  porte majestueuse,donnant  accès aux bâtiments récemment restaurés. En effet ce château suite à des erreurs de gestion a été vidé de ses meubles puis vendu et abandonné pendant 36 ans. Restauré il a retrouvé son faste d'antan.

Avant notre dégustation, nous avons bien aimé le couloir avec les bandes dessinées bulles pleines d'humour, nous avons dégusté du Pouilly du chardonnay et Pinot Noir  avec  de délicieuses gougères ainsi que du sirop de cassis et de pêche.

Puis sur notre route vers Cluny une  intéressante  chapelle des moines à Berzé -la -ville, un  prieuré  décoré d'un  tympan majestueux du XI siècle.

Notre route nous dirige vers le camping Saint Vital  à Cluny, soirée  briefing quotidien  avec nos vœux pour un joyeux anniversaire à Alain et le grand espace nous a permis de sortir les tables pour  un repas  (dit à l’espagnole )  avec de la bonne humeur et de la convivialité ,du génépi et des cerises à l'eau de vie maison.

Micheline, Alain, Bernard et Pierre

21 Mai 2022  CLUNY 

En lien étroit avec la grande abbaye, CLUNY s’est développée dès 910. car les chantiers nécessitaient la présence de nombreux artisans, sculpteurs …Les terres appartenaient à Guillaume, duc d’Aquitaine.La ville était fortifiée.

Cluny offre une densité de maisons médiévales, principalement romanes, érigées entre le XI ème et XIV ème siècle dont les aménagements sont typiques : une façade  étroite, un rez de chaussée à usage commercial, un escalier droit menant à l’étage résidentiel ; une claire voie sculptée.

Certaines avec un avant toit si le commerce se faisait dans la rue, sans avant toit si le commerce était à l’intérieur pour les denrées rares ou précieuses.

Quelques spécifiques : La tour des fromages appelée autrefois tour des fèves

On remarque sur une façade  une plaque  hôtel des monnaies bien que  la monnaie n’y ait jamais été battue 

une maison double du XIII siècle avec 2 claires voies rectangulaires , 2 entrées , 2 montées d’escaliers et une grande cheminée centrale séparant ces 2 parties , à l’intérieur , une salle commune.

La rue du merle  était l’artère principale, avec une fontaine.

L’Hôtellerie St Hugues appelée ainsi car en bas on y logeait les chevaux avant que le haras ne soit construit

La Place Notre Dame avec son église et sa fontaine érigée en 1770 ayant à son sommet une fleur de lys ; décapitée à la révolution, remplacée par un bonnet phrygien et enfin par une sphère, symbole universel.*

Le palais de Jean de Bourbon était la résidence des abbés de Cluny  actuellement musée d’art et d’archéologie de style gothique flamboyant

L’école des arts et métiers  après le départ des moines en 1794, les bâtiments monastiques ont de nouvelles fonctions. En 1801, un collège est installé, remplacé par un collège d’enseignement spécial puis en 1901, l’ENSAM, école nationale supérieure des arts et métiers : promotion de plus de 200 élèves appelés Gadzarts (gars des arts)

Le dimanche  22 Mai 2022

Après avoir traversé la forêt domaniale de Chapaize, découverte du village de Brancion aux maisons typiques avec chacune un préau en avancée.

Puis direction Écuisses où nous avons déjeuné au bord du canal du centre sur l'aire de camping car.

Nous avons suivi le canal pendant plusieurs kilomètres jusqu'à St Léger sur Dheune où nous avons pu observer de belles péniches.

Pour finir, nous nous sommes rendus à Nolay, village aux pieds de grandes falaises où l'escalade est pratiquée.

J-Michel et Jocelyne D.   Fréderic et Michèle C.

Etape à BEAUNE , où nous visitons les hospices , les caves avec une dégustation . 

Dernier repas du soir avant la séparation de fin de voyage du lendemain. 

Merci , beaucoup à nos organisateurs ,Michèle , Christian pour la peine qu'ils se sont donnés.